Des nouvelles de Ndianda

Aujourd’hui Afaye est passé à l’école…

Mbagnick continue de s’occuper du jardin (seul). Il va y avoir du poivron et de la salade. Maïmouna, elle, s’occupe des poulets.

Ils font bien attention à respecter les gestes barrières, nous avons de nombreux échanges avec eux à ce sujet, ils ont pris la mesure du danger.

Le Sénégal est également confiné, avec un couvre feu le soir.

Tout comme en France, il n’y a pas de date de ré ouverture pour les écoles à ce jour (ils en sauront plus début avril).

Le puisatier avait terminé de creuser les 5 mètres supplémentaires du puits juste avant le confinement. Il y a désormais beaucoup d’eau, c’est une bonne chose.

Les lettres de Ndianda ne sont pas encore arrivées à Varades.

Quoi de neuf à Ndianda aujourd’hui ?

Le puisatier a presque terminé de creuser les 5 mètres supplémentaires, mais il a cassé sa pioche et la répare pour terminer ! Il a trouvé de l’eau, c’est positif, le magnifique potager entretenu par M’bagnick pourra se poursuivre dans de bonnes conditions.

Des photos des classes et du bac à sable.

 

Silence on joue !

Les élèves dans les classes pendant le temps d’accueil le matin avec les boîtes de jeux envoyées en octobre 2018. Les lettres pour les élèves de Varades ne sont pas encore arrivées …

C’est un jardin, extraordinaire…

Il y’a des poivrons qu’on récolte à foison,

Pendant qu’le puisatier continue à creuser,

les choux et les tomates s’en donnent à coeur joie

grâce à M’bagnick qui est très dynamique 😉

Mardi gras

Hier, c’était mardi gras à l’école maternelle de Ndianda, mais il y avait trop de vent et de sable pour défiler dans le village, la fête a eu lieu dans une classe.

Une vidéo cliquez ici

Les lettres sont prêtes

Afaye, le directeur de l’école,  a posté aujourd’hui les lettres des élèves de l’école maternelle de Ndianda à destination des élèves de l’école publique de Varades.

Ceebu djeu

Au menu d’hier, du riz à la tomate préparé par les mamans du quartier de Diamaguene.

Afin de faciliter le travail du puisatier, les familles viennent chercher l’eau du puits pour le vider.

Le puits acte II

Afin d’assurer la pérennité du potager, nous devons creuser à nouveau…

En cause, la très mauvais gestion de la société en charge de l’eau dans la région depuis trois ans, la  corruption, les forages pas aussi nombreux que prévu (3 sur 10), les gros maraîchers qui tirent beaucoup d’eau …pas d’eau au robinet depuis 3 mois dans le Siné Saloum (à nouveau !) L’école se trouve sur ce même réseau.

De ce fait, les puits sont très (trop) utilisés et les nappes diminuent. La situation est aussi catastrophique dans tous les puits aux alentours 😦

A l’école, au bout de 10 minutes de pompage pour le goutte à goutte, le puits est presque à sec.

Le puisatier est donc à l’oeuvre pour creuser 5 mètres supplémentaires.

Belle cueillette !

Tata Anna a emmené ses élèves cueillir les légumes, soit pour la préparation du repas, soit pour les vendre. Admirez ces magnifiques carottes et ces concombres colorés 😉